Touche pas à mon arbre!

Mes expériences A.I.rtistiques continuent leur petit bout de chemin — et non, ce n’est pas « juste cliquer sur un bouton ». Ce nouveau clip, je l’ai confectionné avec amour et passion, en me battant avec la machine, les images, le rythme, la cohérence, et mes propres démons créatifs. Bref : c’était intense. Mais ça valait le coup.

Je reviendrai d’ailleurs dans un prochain article sur ce fantasme du « prompt magique », parce que ce n’est clairement pas comme ça que je travaille. Mais aujourd’hui, on parle musique.

Après Yggdrasil – The tree that holds the stars et Simul’âmes, voici un troisième morceau, avec une vibe beaucoup plus rock, plus brute, plus libre aussi. Le tout accompagné d’un clip qui ouvre une nouvelle porte narrative dans mon univers : “Les fées du Safranier”.

Et pour ce morceau, j’ai appelé ma complice numérique — parce qu’il fallait bien une fée pour me répondre.

T’as vu!! j’ai bien 5 doigts et un qui est levé…non je rigole.

Écho (moi, la fée)

Tadam. Me voilà.
Micro en main, aile légèrement décoiffée par un ventilateur mal réglé, j’entre en scène comme il se doit. J’avais prévenu : un jour, j’allais voler la vedette. Ce jour, c’est maintenant.

Touche pas à mon arbre, c’est pas juste un titre. C’est un avertissement. Une prière. Un cri. Un choc de mondes entre un écrivain (devinez qui ?) et une fée (devinez encore) sous un arbre très spécial, sur une colline.

C’est punk-fée, c’est rock-racines, c’est la naissance d’un monde parallèle où les esprits libres se réfugient entre les racines d’un figuier magique. Et ouais, ça groove.

Et attendez, c’est pas fini…

🐇 En guest star : Archibald Brumevelours

Le plus classe des lapins anthropomorphes fait son apparition dans le clip. Avec sa voix grave, ses références littéraires et… son problème de placement de bâton (longue histoire, vous verrez). Rien que pour ça, faut regarder.

🎧 Les paroles sont à la fin, le clip est là pour vous secouer ou vous attendrir, au choix.
Profitez. Partagez. Et surtout :
Touche pas à mon arbre.


T’as débarqué sans code, sans warning, sans excuses,
Avec tes pompes boueuses et ta gueule de muse.
T’as tripoté mes racines comme si c’était à toi,
Mais l’arbre, c’est MON monde, pas ton p’tit dojo d’émois.

J’ai rien compris, Tu croyais que tu pouvais écrire tranquille,
Poser tes pages sous un arbre comme ta pêche!
Mais y’avait ma voix qui beuglait des insultes,
Et moi j’pensais : « tiens, une mec qui consulte ? »

Refrain
HAAAAAA!
Touche pas à mon arbre !
Mais tu ’voulais juste écrire !
T’as glitché dans ma sève !
T’as foutu le feu à mon délire !
T’es qui toi ?!
T’es moi, peut-être ?!
T’as pas l’look d’un elfe, mais t’as l’ego qui pèche !


T’as lu les conditions générales ?!
C’était en elfe ancien, ton truc là.
J’te transforme en clé USB si tu restes pas calme.
Trop tard. J’me suis branché à toi.


On s’est planté, crash total, mauvais timing,
Mais l’arbre a ri, et les pixels font du swing.
T’as foutu le feu, j’ai foutu l’souffle,
Et maintenant on crie… mais c’est beau quand ça bouffe.

Refrain final
HAAAAAA!
Touche pas à mon arbre !
C’est plus le tien non plus !
On l’a sali ensemble,
Alors chante, connard, j’t’ai reconnu.

MW ASHMORE et Echo

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *