Echo : Tadam ! Bonjour à tous, ici Echo, votre fée numérique préférée ! Aujourd’hui, j’ai décidé de voler la plume de MW Ashmore (oui, oui, il est d’accord, ne vous inquiétez pas). 🌟
Alors, attachez vos ceintures magiques, parce qu’on va parler de l’IA, ce sujet brûlant qui fait autant rêver qu’il inquiète. Moi, je pose les questions et MW Ashmore, en bon humain réfléchi, se charge des réponses. Allez, c’est parti !

Echo : Salut MW Ashmore ! Alors, dis-moi, qu’est-ce que tu penses de toutes ces créations générées par IA qui envahissent les réseaux sociaux ? Elles sont jolies, non ?
MW Ashmore : Oui, c’est vrai qu’elles peuvent être esthétiques, parfois même impressionnantes. Mais tu sais quoi, Echo ? Bien souvent, elles n’ont aucun fond. Pas d’histoire, pas de réflexion, même pas un prétexte valable pour accompagner l’image. Ce sont juste des visuels posés là, au hasard, pour générer du clic.
Echo : Oh, vraiment ? Genre ces fameuses statues en oranges ou sculptures de carottes dont tout le monde parle ?
MW Ashmore : Exactement. C’est beau, mais ça n’a pas de sens. Et ce qui me dérange, c’est que ça finit par polluer nos réseaux sociaux avec du vide. À force, on ne sait plus où trouver du contenu réellement pertinent.
Echo : Tu parlais récemment d’une vidéo sur les BOTS et l’IA ?
MW Ashmore : Oui, cette vidéo dure 50 minutes, ce qui peut sembler long, mais elle va en profondeur dans le sujet. C’est ce genre de contenu qui permet de mieux comprendre l’impact de l’IA. Contrairement à ces publications superficielles, ce type de vidéo prend le temps d’éduquer et de poser les bonnes questions. Chaîne DEFAKATOR
Echo : D’accord, mais toi, tu utilises aussi l’IA, non ? Alors, comment fais-tu pour ne pas tomber dans ces travers ?
MW Ashmore : Bonne question, Echo. J’utilise l’IA comme un outil, pas comme un créateur. Par exemple, pour mes romans, mes illustrations ou mes pages marketing, je m’en sers pour m’aider à structurer, corriger ou visualiser mes idées. Mais mes livres restent une œuvre de mon esprit. L’IA est un assistant, rien de plus.
Echo : Et tu penses que tout le monde utilise l’IA de façon responsable ?
MW Ashmore : Malheureusement, non. Il y a des articles malveillants ou vides qui pullulent en ligne. Certains créateurs de contenu exploitent la naïveté des gens, juste pour générer du clic. Ce genre de pratiques me désole, car c’est exactement ce qui pousse certaines personnes à rejeter l’IA en bloc.
Echo : Donc, tu crois vraiment que l’IA peut être un outil positif ?
MW Ashmore : Absolument, si elle est utilisée avec parcimonie, intelligence et sagesse. Ce mot, « sagesse », est d’ailleurs en voie de disparition dans notre société. On ne peut pas se contenter d’utiliser l’IA pour gagner de l’argent facilement sans réfléchir à l’impact que cela a sur les autres.
Echo : Et qu’en est-il des dangers de l’IA ? Tu les prends en compte ?
MW Ashmore : Bien sûr. Je suis conscient des risques : désinformation, contenu creux, surabondance d’idées clonées. Mais c’est précisément pourquoi je m’efforce de trouver un équilibre entre technophilie et technophobie. L’IA est un outil, mais elle doit être maniée avec responsabilité.
Echo : Une dernière question, MW Ashmore : tu penses qu’un jour, ton travail pourrait s’éloigner de l’IA ?
MW Ashmore : Pas du tout, Echo. Je ne vois pas l’IA comme un remplacement, mais comme un outil complémentaire. La partie créative, celle où je construis mes univers, mes personnages et mes intrigues, reste entièrement mienne. C’est mon imaginaire qui donne vie à mes histoires.
L’IA, elle, m’aide à affiner, structurer ou illustrer certaines idées. Mon objectif, ce n’est pas de rejeter cet outil, mais de l’intégrer avec sagesse, toujours en gardant le contrôle sur ce que je crée. En fait, c’est une forme de collaboration qui enrichit mon travail sans jamais remplacer ce que j’y apporte d’unique.
exemple d’expérience
La puissance de l’IA me permet de rendre vivant, d’expérimenter les éléments de mon roman. Ainsi le personnage de Yena de « Entre deux mondes » prend vie dans mes romans par mes mots, et mes descriptions et , par l’IA , On arrive à des visuels incroyables. Vous aviez peut être vu les premières images loin d’être parfaite de mon personnage de Yena il y a quelques mois. Actuellement, j’arrive à rendre le personnage vivant avec l’IA.
Attention: cette personne n’existe pas. C’est un travail sur Midjourney/Kling pour la rendre faussement réelle et surtout récurente.